Mon pire ennemi c'est moi.

Publié le par NeeAvecLyme

Cette partie de moi, rongée par la maladie.

Car la maladie touche au niveau neurologique et qu'on peut donc souffir de dépression de Lyme.


Déjà en temps normal, dés qu'on ait malade un peu trop longtemps ou affaiblit un peu trop soudainement, le moral en pâti. Alors imaginez vous, souffrir, beaucoup, depuis longtemps, beaucoup trop longtemps. Sans parler de l'impact physique des spyrochètes sur le cerveau. Juste l'aspect maladie chronique. Beaucoup de gens luttent contre la dépression engendrée par l'affaiblissement physique.


Bien souvent, avec l'aide des proches, on arrive à relativiser et rationnaliser. A ce dire que ça ira mieux demain et qu'il faut garder le moral.

Maintenant, retirez de l'équation la capacité à relativiser. 

"If you are goin to hell, keep going" - Churchill -

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